chier !
et c'est reparti !
putain de merde !
v'là que je redéguste !
et tandis que je suis là, plutôt démuni face à la douleur, l'asthénie, la détresse respiratoire plus ou moins partielle, je cherche du sens à tout cela. et bien évidemment, je n'en trouve pas.
tout ça commence à réellement et profondément me casser le couilles.
c'est banal d'être malade.
j'ai appelé le secrétariat de mon grand maître jedi du poumon à st louis, pour activer un bilan. parce que là, c'est too much et j'ai besoin de savoir si mon état empire radicalement.
alors voilà.
en attendant, je vais faire un break au boulot, me reposer jusqu'à la prochaine, en essayant de faire qu'autour de moi on comprenne la situation.
avec un pistolet dans la bouche,
on ne peut prononcer que les voyelles
(chuck palahniuk)